Surnommée «la môme Pervenche» à ses débuts, elle devient Fréhel en hommage au cap Fréhel de ses racines bretonnes, avant de conquérir le Paris de la Belle Époque. Après la Grande Guerre, et une longue absence, Paul Franck la relance à l’Olympia fin 1923. « L’inoubliable inoubliée » regagne le coeur du public et impose de nouveau son répertoire réaliste dès 1925.
Au pays des chansons
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